Une pandémie comme les autres
Et non, je ne vous parlerai pas du Coronavirus ! Le titre de mon article est plutôt en lien avec mes livres « Une série comme les autres ». J’ai préféré focalisé sur l’écriture durant cette période tumultueuse…
Période de révision intense
Moi et ma fabuleuse femme avons tout donné pour achever la révision des deux premiers tomes, « Une usine comme les autres » et « Une école comme les autres ». Deux livres d’environ 170 000 mots, ce n’est pas une sinécure. Surtout qu’il fallait terminer pour la fin mai pour que ce soit prêt à être publié en septembre pour mes quarante ans !
Période d’écriture intense
En parallèle, dans ce qui me restait de temps libre (parce que j’ai eu la chance que l’usine où je travaille reste ouverte pendant le confinement, donc aucun tracas financier), je continuais l’écriture du troisième livre « Une ville comme les autres ». D’ailleurs, je viens de terminer le premier jet et il s’agit d’un monstre de plus de 285 000 mots ! Ça va être éternel à réviser ! Mais tellement plaisant !
Et BAM ! Le virus intense fait ses ravages !
Comme tout le monde le sait, tout a été annulé pendant le printemps. AUCUN salon du livre ! Pas évident de faire la promotion de livres jeunesse sans moyens pour rencontrer les lecteurs / lectrices. J’ai songé faire parachuter des livres au-dessus du Québec, mais c’est plutôt onéreux comme méthode de marketing. Même juste une montgolfière. Je me suis informé…
Qu’à cela ne tienne, cette période de pause mondiale devait me donner le temps de peaufiner mes manuscrits pour fin mai ! Ça va être des best sellers ces monstres-là…
Et les problèmes (pas si intenses) continuent…
Les éditeurs et autres entreprises culturelles ont été les plus frappés par cette foutue pandémie sans scrupule ! Et malheureusement, l’éditeur de « Une série comme les autres » n’a pas eu d’autres choix que de mettre la hache dans mon projet. Donc, pas de sortie prévue en septembre…
Par contre, je ne me laisse pas abattre aussi facilement. Après avoir pleuré deux semaines sans arrêt, couché en boule dans la litière du chat, j’ai décidé de continuer mon travail comme si j’étais toujours édité. Je peaufine mes manuscrits et je vais les soumettre de nouveau bientôt à divers éditeurs, parmi lesquels se trouvera le BON. D’ailleurs, si vous avez des contacts…
Pour finir…
Pour finir… ce travail-là ne sera jamais terminé. Quand j’aurai terminé « Une série comme les autres », j’ai encore quatre autres livres à réviser (un livre jeunesse et une autre trilogie ; d’ailleurs, « Une série comme les autres » est plus un triptyque qu’une trilogie). Et l’écriture continuera dans plusieurs autres projets. Ça n’aura jamais de fin, tant que je respire.