Je commence l’écriture de «Au delà l’océan»

Oui oui. C’est commencé. Le deuxième tome de la trilogie Souvenirs du Deuxième Monde est débutée ! Comme le dit si bien le titre de l’article, il se nomme « Au delà l’océan ». Il continue l’histoire à peine quelques jours plus tard après la fin du premier tome, « Entre les montagnes ». On reste en terrain connu !

Et je vous donne en prime la première phrase :

Megdydrën pleurait d’allégresse.

C’est tout ! On part en grand ! Vous verrez pourquoi il pleure, ce dieu lunatique au corps robotisé…

Révélation d’auteur…

En commençant à rédiger le livre, j’ai eu une révélation : débuter le travail est la partie que j’aime le moins (à part la première réécriture, plus technique, où je traque toute les informations et leur récurrence. je ferai un article à ce propos éventuellement). J’adore créer le plan point par point, j’adore l’écriture à partir des 5000 premiers mots, j’adore la dernière révision. Et quand je dis que « j’aime moins », c’est juste « moins ». Si on me donne le choix entre écrire les premiers mots d’un manuscrit ou me faire battre à coup de cactus séché (ne me demandez pas d’où me vient cette image…), je choisis l’écriture. En fait, je choisis de débuter un manuscrit versus me faire battre avec n’importe quel objet existant sur ce plan de réalité et les autres. Pour m’assurer d’être très bien compris ici, j’ajouterais même que je préfère débuter un manuscrit versus 99.9 % des activités possibles en ce bas monde. Comme le montre l’image, j’en mange !

Et l’avenir dans tout ça ?

Pour ceux qui se demandent ce qui advient du premier tome, il est présentement entre les mains du groupe de lecture d’Édiligne. Ce processus peut s’avérer assez long, mais je suis rempli d’espoir. Déjà que mon éditeur publie les Contes So-Lam, d’avoir à offrir à sa clientèle des romans pour adulte dans le même univers reste plutôt attrayant ! On se croise les doigts !

Au moins, en ce moment, j’en suis déjà à plus de 5000 mots. Là, j’embarque dans le plaisir à pieds joints. Comme Megdydrën, je pleure d’allégresse !